Mourir peut attendre
” Il n’y a qu’un pas entre moi et la mort ” (Parole de David – La Bible – 1 Samuel 20/3)
Les amateurs du célèbre agent secret ne s’y tromperont pas, « Mourir peut attendre » est bien le titre du 25ème épisode de la franchise 007. Sorti en France en octobre 2021, le dernier opus a suscité un véritable engouement chez les amateurs de film d’action, comme à son habitude. Car de 1962 (date de sa première apparition au cinéma) jusqu’à nos jours, James Bond n’a pas pris une seule ride. Le héros affronte les pires criminels de la planète, se faufile entre les balles et multiplie les cascades, mais il s’en sort toujours indemne avec élégance et classe, comme si la mort ne voulait pas de lui… La mort peut attendre !
Sauf que dans la « vraie vie » la mort n’attend jamais. Quand l’heure du grand départ a sonné rien ni personne ne peut s’y opposer. Redoutable et imprévisible, la grande faucheuse n’obéit à aucune règles et tous les vivants doivent se préparer à sa rencontre. Le roi David pouvait déclarer « Il n’y a qu’un pas entre moi et la mort » (1). Conscient du caractère éphémère de la vie, l’homme de la Bible savait qu’il allait devoir quitter la terre des vivants brusquement. Les siècles sont passés et bien des choses ont changées, mais le sort de l’homme est toujours le même. Un jour nous devrons nous aussi affronter la mort. Face à cette triste réalité, certaines personnes sont comme tétanisées, l’angoisse les étreint, la peur du néant les obsède. Qu’y a-t-il après la mort ? qu’adviendra-t-il de nos âmes ? Irons-nous tous au même endroit, et y a-t-il une vie après la vie ? Autant de questions qui taraudent les vivants du monde entier.
Devant cette grande inconnue, la Bible nous apporte un message plein d’espérance.
Elle affirme tout d’abord que Jésus est mort pour nos péchés mais qu’il est ressuscité le troisième jours. Il a payé pour nos fautes en livrant sa vie en sacrifice à la croix du calvaire. Tous ceux qui s’approchent de lui dans une attitude de repentance obtiendront le pardon de leurs péchés. « Repentez-vous donc et convertissez-vous pour que vos péchés soient effacés » (2)
La Bible nous enseigne aussi que ceux qui auront accepté le salut gratuit en Jésus, seront un jour rassemblées dans la cité céleste, le paradis promis. Le Seigneur les accueillera, « il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu ». (3)
Alors ne tardez plus, jetez-vous dans les bras du sauveur, demandez-lui pardon pour vos péchés, confiez-lui votre vie par une simple prière, et vous serez sauvés. « Jésus dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. » (4)
Enfin, pour tous ceux qui auront refusé la main tendue du Seigneur, les écritures nous apprennent qu’ils seront rassemblés dans un lieu de désolation et de larmes. Là, plus d’espérance ni de délivrance, la nuit et les remords pour l’éternité. Pour décrire cet enfer éternel, la Bible nous parle sans détours de ces « ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. » (5)
Thierry Chambeyron
- 1 Samuel 20/3
- Actes 3/19
- Apocalypse 21/4
- Jean 11/25
- Matthieu 22/13
La ruée vers l’or
« Nous avons trouvé le Messie » (Parole d’André – La Bible – Jean 1/41)
En 1848, un certain Johann August SUTTER découvrit un gisement aurifère à Sacramento. A cette nouvelle, quelques 300 000 aventuriers débarquèrent en Californie, poussés par la fièvre de l’or. Ils arrivaient des quatre coins des États-Unis, d’Europe, d’Asie ou d’Amérique du sud ; certains abandonnèrent patrie, travail et famille, et firent jusqu’à huit mois de voyage en chariot ou sur les mers, en quête du précieux minerai. Ces nouveaux orpailleurs consacrèrent plusieurs années de leur vie à filtrer le sable des rivières pour y dénicher la pépite qui changerait le cours de leur vie. Hélas, la plupart d’entre eux moururent sans avoir jamais rien trouvé, misérables et déçus.
Contrairement à ces chercheurs malchanceux et à l’instar du jeune André, nous voulons vous dire que nous avons trouvé un trésor inestimable en la personne du Messie. Il a changé notre vie en guérissant nos cœurs, en pardonnant nos fautes. Il a pansé nos blessures, ouvert les portes de nos prisons et sauvé notre âme de l’enfer éternel. Il est notre trésor, notre richesse, notre pépite précieuse. Il s’appelle Jésus et nous l’avons découvert dans une simple crèche à Bethlehem.
Vous qui cherchez le bonheur et la paix, nul besoin d’entamer quelques pèlerinages onéreux ou autres processions. Celui-ci est à porté de main, il se trouve dans la prière, au détour des pages de votre Bible. Alors n’hésitez plus, laissez derrière vous les idées reçues et autres préjugés, abandonnant ce qui jusqu’à ce jour vous a empêché de trouver ce bonheur si précieux, et vous tournant vers le seul trésor valable, Jésus de Nazareth.
« Cherchez l’Eternel pendant qu’il se trouve ; invoquez-le, tandis qu’il est près. Que le méchant abandonne sa voie, et l’homme d’iniquité ses pensées ; qu’il retourne à l’Eternel, qui aura pitié de lui, à notre Dieu, qui ne se lasse pas de pardonner ». (Esaïe 55/6)
Thierry Chambeyron